octobre 09 2011
60 Millions de consommateurs ne doit pas être privatisé...
Indépendant, sans publicité, 60 Millions de consommateurs informe les consommateurs et défend leurs droits depuis plus de quarante ans.
Dérives marketing, pratiques déloyales, lobbying malsain... « 60 » dénonce inlassablement les manipulations dont sont victimes les consommateurs.
Aujourd’hui, l’avenir de ce journal qui dépend d’un établissement public (l’Institut national de la consommation) est gravement compromis.
L’État envisage de le privatiser.
Autant dire qu’une telle décision signerait son arrêt de mort.
Pourquoi un tel choix alors que nous, consommateurs, avons plus que jamais besoin d’être protégés ? « 60 » dérangerait-il ?
Il faut reconnaître que sa voix diverge souvent des voix officielles.
Parce que ce projet est inacceptable, parce que 60 Millions de consommateurs reste indispensable, mobilisons-nous !
À nous de défendre le journal qui nous défend depuis si longtemps !
Une pétition est ouverte, venez la signer. Et faites passer l’information autour de vous.
Il faut reconnaître que sa voix diverge souvent des voix officielles.
Parce que ce projet est inacceptable, parce que 60 Millions de consommateurs reste indispensable, mobilisons-nous !
À nous de défendre le journal qui nous défend depuis si longtemps !
Une pétition est ouverte, venez la signer. Et faites passer l’information autour de vous.
Commentaires
3 commentaires1. Le dimanche 09 octobre 2011 à 23:45:18 par Bracam
C'set signé, merci d'avoir signalé la pétition. Au rythme où ça va, on va bientôt confier nos revenus à Veolia et BNP, pour ceux qui en ont (un revenu), et s'ils nous donnent en échange un bol de riz transgénique par jour, on s'agenouillera avec dévotion devant eux ;-s
2. Le mercredi 12 octobre 2011 à 22:42:31 par dominusLa privatisation n'est pas une si mauvaise chose et n'entraine pas systématiquement la mort. Nous avons UFC que choisir, association indépendante qui défend aussi le consommateur qui n'est pas soumis au dicta des gouvernants et industriels.
3. Le vendredi 14 octobre 2011 à 16:42:39 par BracamY'en a même qui affirment que la privatisation est un bien à opposer au mal absolu du service public (ou de l'indépendance de certaines associations, en l'occurrence). Suffit de leur donner une signature en blanc, puisque c'est pour la bonne cause. On peut aussi attendre la vente ou la mise sous toutelle de l'UFC, suite logique, puis compter les vivants après. Mais si l'UFC devenait le dernier organisme indépendant, constatant que la courbe des privatisation suit toujours la même trajectoire dans les mêmes buts, soit on défend le pluralisme aujourd'hui, parce qu'un seul organe restant devient si exposé qu'il pourrait sombrer avec le reste comme on le constate depuis une décennie (il serait rapidement en butte à l'accusation de position monopolistique, d'incompétence et de gaspillage d'argent ). Soit essaie de lutter contre le rouleau compresseur de la finance et de l'industriel multinational. C'est un choix de société.